• Il est vrai que ce film n'est pas vraiment "ancien", dans le mesure où il est sorti à la fin de l'année 2004; néanmoins, cela appartient au passé. Malgré que ce soit une production purement française, car il s'agit d'une production Europacorp (la société de Luc Besson, qui est comparable à la Dreamworks de Steven Spielberg), on ne peut pas donner de date précise, quant à la diffusion en salle, puisque au moins 12 pays ont pu assister aux projections. Les acteurs principaux sont, donc, bien de chez nous : ils sont cinq et ils s'appellent Larbi Naceri (le frère de Samy Naceri), Tony D'Amario, Dany Verissimo, Cyril Rafaelli et David Belle. Il faut signaler que ce dernier n'a pas de rapport avec le milieu du ccinéma, puisque c'est l'inventeur du parkour, c'est-à-dire l'art d'évoluer avec grâce en milieu urbain, en donnant l'impression de franchir des obstacles a priori insurmontables avec une facilité déconcertante. Il n'est, donc, pas superflu de préciser que la plus grande partie des cascades sont réalisées sans effets spéciaux ni trucages. Quand il s'agit de dire des choses qui s'attachent plus à l'esprit qu'à l'histoire, on sait que l'on presque dire tout et n'importe quoi, mais deux aspects semblent s'imposer : le premier montre combien la hiérarchie, système conçu, malgré lui, de manière à ce que celui qui se trouve à la base de l'organisation est susceptible d'être envieux de son supérieur, attise la versatilité des Hommes, qui ont tôt fait décrédibiliser ce haut responsable, dès que celui-ci a fait l'erreur de ne plus pouvoir remplir les devoirs liés à sa fonction ; le deuxième souligne que le cynisme politique, qui implique le recours à des solutions trop radicales; n'est pas une réponse acceptable à un problème donné, dans le sens où cette option est bien trop facile, et ne sait pas satisfaire chaque partie prenante à telle ou telle affaire, ce qui ne convient pas.

    Ces conclusions morales incitent-elles à regarder "Banlieue 13" ?

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  • Encore plus que dans le cas d'autres pointures du cinéma hollywoodien, la vie antérieure de cette actrice, c'est-à-dire son passé, avant sa rencontre avec la gloire, mérite d'être connue, dans le sens où sa biographie nous révèle que cette première phase a été mouvementée. En effet, si, en l'occurrence, tout avait bien commencé le 4 juin 1975, dans une famille d'acteurs moyennement célèbres, qui a engendré deux enfants (une fille, dont on étudie le parcours, et un frère), l'avenir semble s'assombrir, dès lors que le père décide, en 1976, de se séparer de la mère. On devine, alors, que l'artiste en question est, très certainement, la cadette car il est peu commun, pour une femme, de traverser deux grossesses successives. Puisque l'homme de la maison est parti, c'est l'occasion d'aller s'installer à New York, avant de revenir, une dizaine d'années plus tard, sur la côte Ouest, au même endroit. C'est là que celle dont le nom fait l'intitulé de cet article sent sa fibre pour le jeu cinématographique, et prend, dès l'âge de 11 ans, des cours en conséquence. Malheureusement, l'absence paternelle se fait sentir,et l'adolescente en vient même à s'auto-mutiler. Même si, au final, les relations sont tendues, il apparaît que c'est aux côtés de papa que les premiers coups d'éclat ont été faits (comme en 1982), et, surtout, qu'une remise à flots a été possible. On peut même dire que, dans l'ascension de l'étoile que, aujourd'hui, nous connaissons, puisque c'est par le biais de la fratrie que l'expérience de carrière a pu s'amorcer. Cela nous amène à 1993, date à laquelle un premier rôle important a pu être décroché. Mais c'est en 1996 que la percée se fait le mieux sentir, avec, dans la foulée, le passage de ce point de nos retour qu'est cette triade fastueuse : 1998, 1999 et 2000. Pendant cette période, les Golden Globes (fameuses récompenses) sont annuels et les succès commerciaux s'accumulent. Après, la réputation a été tellement internationale qu'il paraît idiot de relater ce que les magazines, et autres journaux, du Monde entier ne font que relayer -et amplifier - au plus près.

    Les faits et actes d'Angelina Jolie méritent d'être plus diffusés ? 

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  • Il est embêtant que l'on s'arrête au prénom, car on peut interpréter cette mode comme une régression. En effet, il y a de nombreux siècles que l'on s'est aperçu qu'un nom, pour désigner précisément une personne, devait être constitué par deux composantes. Un seul prénom ne suffit pas à distinguer les gens, et on serait perdu si un autre artiste se faisait appeler avec ce nom. Ceci est la réalité : maintenant, cela aurait tendance à vouloir signifier que la personnalité en question ne veut pas se montrer complexe ; cela pourrait aussi dénoter un manque d'inspiration, car il s'agit, en principe, d'un pseudonyme. D'ailleurs, en l'occurrence, c'est, en fait, Grégoire Boissenot, qui est sous le feu des projecteurs : alors, pour trouver quelle dénomination les fans auront à crier lorsqu'il seront hystériques, pourquoi ne pas choisir ce que les parents ont choisi ? Bref, cela nous permet de voir, en même temps, que le jeune homme est né le 3 avril 1979. Il avait 3 frères, et, parmi eux, 2 sont morts, malheureusement. La première phase de son existence a, donc, été entachée de tristesse, puisque le coup d'arrêt initial, sur ces 2 fois, est survenu il y a 8 ans, alors qu'il en avait 23, surtout que celui qui est parti, à cette occasion, lui avait appris ce qu'il sait. Après un second drame, cela nous amène à l'année 2007, date où le réseau on-line My Major Company lui permet de trouver plusieurs centaines de producteurs, pour lancer son album, qui sort le 22 septembre 2008. Son succès est largement relayé par Internet, ce qui lui vaut plusieurs nominations et récompenses. Après quatre singles contribuant à sa réussite, il n'a plus qu'à promettre, désormais, son retour, avec un nouvel opus. La question est de savoir s'il va vraiment donner une nouvelle occasion aux généreux producteurs en ligne d'avoir un intéressant retour sur investissement. Bien sûr, pour ce dernier genre d'activité, il faut déjà être riche, car il doit être difficile de trouver la bonne perle.

    Grégoire va-t-il tenir ses promesses de future carrière ?

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  • Si on traverse, actuellement, la vingt-septième semaine de cette année 2010, le retour que l'on fait sur la vingt-sixième, c'est-à-dire celle qui va du 5 au 11 juillet, concerne, lui aussi, l'été :

    1. Naruto T. 49, de Masashi Kishimoto, chez Kana (BD)

    Agrémenterez-vous votre été avec le tome 49 de "Naruto" ?

    2. Le Voleur D'Ombres, de Marc Lévy, chez Robert Laffont (roman)

    Vaut-il la peine de se plonger dans "Le Voleur D'Ombres" ?

    3. Passeport ; Du CP au CE1 ; Toutes les matières anglais ; 6/7 ans, par une équipe Bourgoint Presse, chez Hachette Education (enseignement)

    Avez-vous agréé le rôle éducatif de "Passeport" en l'achetant ?

    4. La Consolante, d'Anna Gavalda, chez J'ai lu (roman)

    Est-ce que la lecture de "La Consolante" vous a plu ?

    5. Quitter le Monde, de Douglas Kennedy, chez Pocket (roman)

    Avez-vous pris le temps d'effeuiller "Quitter le Monde" ?

    L'information principale de cet extrait est l'ancien premier (Le Voleur d'Ombres) est détrôné : désormais, il devient deuxième. Le titre qui s'est permis cela est Naruto, les aventures d'un célèbre ninja, racontées à la façon d'un manga. Le troisième, lui, est le seul, parmi les cinq, à ne pas bouger : Passeport Anglais rencontre toujours autant de succès. Derrière, on assiste au retour de romans pour adultes, signe que les vacances ont commencé, et que les achats qui sont fait pour les préparer sont en perte de vitesse. Il est bon de signaler que cela n'est pas significatif, puisque les cahiers d'enseignement en question se retrouvent, principalement, du sixième au neuvième rang..

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  • Il s'agit, en fait, de Nicolas Paul Stéphane Sarkozy de Nagy-Bocsa, né le 28 janvier 1955,dans le 17ème arrondissement de Paris. Il a trois frères, dont 1 demi-frère, et 1 demi-soeur. Si no vante souvent que son père est hongrois, on oublie, peut-être un peu trop souvent, de dire que sa mère est à moitié juive. Peut-être est-ce tu volontairement, même s'il n'y a pas de quoi - loin s'en faut - en faire tout un fromage ; on ne doute pas, cependant, que certains seraient choqués de le savoir. Grâce aux médias, on connaît bien l'homme, et il est plus intéressant de démêler l'imbroglio qui, nécessairement, se pose sur la vie de tout inconnu.Ainsi, on considèrera que c'est une information de premier ordre de savoir que l'actuel Président de la République a eu dans sa vie, trois femmes. Il marche, peut-être, sur les pas de son père, qui en a eu quatre. D'un premier mariage en 1982, il a deux enfants (en 1985 et 1986), après quoi il éprouve la plus grande difficulté à divorcer. Il parvient, enfin, à se remarier en 1996, et il poursuit sa contribution démographique, avec la naissance de son fils Louis en 1997. Pour finir, tout le monde sait qu'il change encore de conjointe le 2 février 2008, et, même si Mme Bruni-Sarkozy est de 13 ans sa cadette, il semble qu'il n'aura plus de couches à changer. Concentrons-nous brièvement sur son parcours professionnel : il débute la politique peu après avoir eu son bac ; nous sommes en 1974, et il fait déjà bon effet, notamment à Charles Pasqua, à qui il soufflera la mairie de Neuilly-sur-Seine quelques années plus tard. A cette date (1983), cela fait déjà trois ans qu'il a eu ses diplômes d'avocat, dont il se servira en 1987, quand il s'associera à des collègues, pour régler des contentieux immobiliers (il s'agit, sûrement, d'une opération de prête-nom). Car c'est à cette époque qu'il fait ses premiers pas sur la scène politique nationale, à l'occasion de la présidentielle de 1988.  Il devient, alors, député, porte-parole du gouvernement, Ministre du Budget, Ministre de la Communication, puis Président du RPR par intérim ; ensuite, il a été Ministre de l'Intérieur, puis Ministre de l'Economie, pour finir Président de l'UMP. Enfin, il devient le 23ème Chef de l'Etat français.

    Etes-vous un fervent supporter de l'action de Nicolas Sarkozy ?

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