• Du 10/01/11 au 16/01/11, voici la manière avec les ventes de disques ont évolué :

    1. Over the Rainbow, de Israël Kamakawiwoole

    Pouvez-vous vous déclarer, désormais, fan de "Over the Rainbow" ?

    3. Oui mais... non, de Mylène Farmer

    Est-ce qu'il était possible, pour vous, d'ignorer "Oui mais... non" ?

    4. Enrique Iglesias feat. Nicole Scherzinger, avec Heartbeat

    Succombez-vous à la majesté de "Heartbeat" ?

    5. Only girl (in the world), de Rihanna

    Avez-vous assouvi votre passion, avec "Only girl (in the world)" ?

     

    Cela est l'élite du classement singles. Voici ce qu'il en est, maintenant, des albums :

    1. Nolwenn Leroy, avec Bretonne

    Pensez-vous que "Bretonne" mérite que l'on s'y intéresse ?

    2. Alone in iz World, d'Israël Kamakawiwoole

    Vous félicitez-vous de l'achat de "Alone in iz World" ?

     

     

    Avez-vous succombé au charme des chansons de "Zaz" ? 

    4. Spiritus Dei, des Prêtres

    Estimez-vous que "Spiritus Dei" a de la chance d'avoir votre approbation ?


    5. Mylène Farmer, avec Bleu noir

    Est-ce un bon moment de musique que d'écouter "Bleu noir" ?


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  • Voilà un film bien connu, en principe, dans le sens où il a été réalisé par Claude Lelouch - un réalisateur incontournable de la scène nationale - en 1993 (un date pas trop ancienne pour que tout le monde s'en souvienne. De plus, il rassemble une pléiade d'acteurs célèbres, parmi laquelle on compte Gérard Darmon, Francis Huster, Fabrice Lucchini... C'est, d'ailleurs, à l'occasion de ce tournage que ce dernier a remporté le César du Meilleur acteur. Pour ne pas parler du sujet auquel tout le monde s'attend, et que la plupart des hommes connaissent mieux les uns que les autres, on parlera, plutôt, du génie qui anime certains malfaiteurs, dont l'action est auréolée de succès. De la même manière que ceux qui ont pour objectif de briller au sommet de la pyramide sociale, les escrocs - et autres bandits - doivent, pour franchir les étapes qui mènent à la réussite, trouver en eux-mêmes les moyens de gruger leurs semblables. Il faut, donc, une bonne dose de culot, de l'aplomb, du sang-froid... Il s'agit de ne pas se laisser déstabiliser par son propre mensonge, et, par conséquent, d'une maîtrise virtuelle parfaite des éléments de l'intrigue que l'on s'est inventé. En fait, tout est une question, là aussi, de gestion des risques : il faut savoir renoncer à ce ne qui peut que nuire. Cette courte réflexion doit en faire arriver à la conclusion que, quand on juge les mauvais agissements de quelqu'un, il est assez épineux de condamner comme s'il n'y avait pas d'intelligence : l'idéal serait de trouver un moyen de canaliser la puissance vertueuse que l'on a constaté vers des fins acceptables. Il est vrai que, pour cela, la nature humaine, qui est rebelle, n'aide pas.

    Est-ce que "Tout ça... Pour ça !" peut être envisagé sous cet angle ?


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  • Voilà un texte sans surprise, dans le sens où aucun message caché est à décrypter derrière les mots. En effet, il s'agit de faire la fête, et, de manière simple, 3 couplets s'enchaînent : ceux-ci sont séparés par des refrains - on ne peut plus - rudimentaires, puisqu'ils se composent de la seule répétition, à 4 reprises, du titre. Alors, dans un premier temps, les paroles sont consacrées à Belzébuth, qui, bien sûr, correspond le mieux à l'image du démon ; ensuite, il s'agit de s'intéresser à Vampirella, qui est présentée comme une icône du sexe (façon mante religieuse) à la voix très aiguë ; enfin, il est question de la sorcière, qui, pour le coup, n'a plus rien de démoniaque, mais est plutôt fantaisiste. C'est ce qui nous fait dire que l'objectif de cette chanson est de faire monter la température, lors de certaines fêtes, par la description superficielle de figures malignes. Pour une fois, les auteurs empruntent une voie alternative, pour nous faire trouver le bonheur : celui de nous comporter comme un enfant espiègle, et de nous faire partager le vice. Rien ne sert de se cacher derrière son petit doigt, en clamant qu'il n'est pas possible d'être heureux en étant une peste : si certains criminels, entre autres malotrus de ce genre, y arrivent, tout le monde doit y arriver. Seulement, et c'est ainsi que ce distinguent les honnêtes gens, il faut avoir conscience de la limite au-delà de laquelle la joie n'est plus : la simulation ne doit jamais devenir réalité.

    Est-ce que "La Salsa du Démon" a sa place dans les annales ?


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  • Il est intéressant d'en apprendre un peu plus sur ce chanteur hawaïen né le 20 mai 1959 à Honolulu. Première information : il est déjà mort (le 26 juin 1997, à 38 ans) d'une insuffisance pulmonaire due à son obésité (190 cm, 344 kg). S'il est plutôt qu'il puisse cartonner, maintenant, en France, il faut remarquer, quand même, que son album a mis plus de 13 ans a se faire connaître. Il est certain qu'il y a eu, là, une sorte de discrimination contre les gros. Mais, enfin, on a daigné nous faire partager l'excellence de cet artiste, qui, de toute évidence, n'aurait pas dû mourir. Surtout qu'une notoriété naissante commençait à se faire jour, si bien bien que, l'année de son décès, il était à l'hôpital, alors qu'il recevait une récompense pour sa carrière, commencée 21 ans plus tôt (à 17 ans, donc, ce qui est précoce), au sein d'une formation musicale locale. S'il avait vécu plus longtemps, on peut croire qu'il n'y aurait pas eu besoin de l'aide d'un tiers, car il est certain que, depuis sa disparition, il y a quelqu'un pour promouvoir la production du défunt. Mais, quand la Vie a décidé d'une fin tragique, il n'y a, peut-être, rien à faire ; et, on doit voir, dans ce drame, une alerte selon laquelle il est urgent d'agir contre la malbouffe, qui, peut-être, est plus un problème psychologique que de mauvais produits. En effet, si certains grossissent à n'en plus finir, c'est - avant tout - parce qu'ils ne savent pas résister à la pression que fait peser sur eux leur estomac, entre autres. Certes, on ne peut ignorer l'incidence de leurs gènes sur le malheur.

    Etes-vous heureux d'avoir découvert Israël Kamakawiwo'ole ?


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  • Le bilan numérique, en terme de meilleures ventes de livres, est rapide à établir, si bien que l'on étudie la période comprise entre le 10 et le 16 janvier 2011 :

    1. Indignez-vous, de Stephane Hessel, chez Indigène (essai)

    Avez-vous eu besoin de couverts pour dévorer "Indignez-vous" ?!

     

    2. L'Enfant Allemand, de Camilla Lackberg, chez Actes Sud (roman)
    3. Des Gens Très Bien, d'Alexandre Jardin, chez Grasset et Fasquelle (roman)

     

    4. Les Visages, de Jesse Kellermann, chez Points (roman)

     

    5. One Piece (Tome 56), de Eiichiro Oda, chez Glénat (BD)

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