• Ce qui peut être marquant, dans la jeunesse de cet acteur né le 17 août 1960 à Santa Monica en Californie, de parents émigrés d'Europe, est que son père, cinéaste, a fait les frais du maccarthysme. Cela n'a pas empêché ce dernier à vouer ses 3 garçons à des avenirs que l'on peut supposer radieux, puisque l'un est musicien-compositeur, alors que les 2 autres crèvent le grand écran ; malheureusement, l'un d'entre eux (le frère qui était dans le cinéma) meurt en 2006. Bref, en réponse au destin compromis de papa, le fiston (celui que l'on connaît le plus et dont on étudie présentement la biographie) a adopté une attitude vengeresse, comme s'il ne pardonnait pas à l'Amérique sa "chasse aux sorcières" passée. Pourtant, son pays a largement réparé ses erreurs, en lui donnant, notamment, le clés de la réussite (surtout que ce n'était pas lui qu'il fallait consoler), et ce, dès l'âge de 21 ans ; il y a, même, lieu de croire que cela est arrivé avant, si l'on prend en compte les activités télévisuelles. Surtout, c'est l'occasion, pour lui, de côtoyer, dès ses débuts, de grands noms, comme celui de Tom Cruise. 4 ans plus tard, il a, aussi, le privilège de couler des jours heureux auprès de Madonna, rien que ça ! Mais, son tempérament rageur le rattrape, et ce n'est pas ses multiples nominations aux Oscars, ou ses fonctions de réalisateur, de scénariste et de réalisateur, qui réussissent à le calmer. Il faut dire que son image peu orthodoxe lui sert de marque de fabrique. D'un autre côté, cela explique, peut-être, que les 43 tournages auxquels il a participé ne méritent pas de figurer dans les annales du cinéma, et qu'il est loin d'être la personnalité la plus en vue d'Hollywood, malgré ses atouts.

    Vous attendez-vous à ce que Sean Penn crève à nouveau l'écran ?


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  • Alors que l'on s'approche de la moitié du deuxième mois de l'année, la possibilité que nous offrent les statistiques du disque est de revenir fin janvier, entre le 24 et le 30/01/11 :

    1. Over the Rainbow, de Israël Kamakawiwoole

    Pouvez-vous vous déclarer, désormais, fan de "Over the Rainbow" ?

    2. Loca, de Shakira

    3. The Black Eyed Peas, avec The Time (dirty bit)

    Est-ce que "The Time" vous a attiré vers les bacs à disques ?

    4. Oui mais... non, de Mylène Farmer

    Est-ce qu'il était possible, pour vous, d'ignorer "Oui mais... non" ?

    5. David Guetta & Rihanna, avec Who's that chick

    Etes-vous un fervent supporter de "Who's that chick" ?

     

    Les albums, maintenant, n'ont rien de nouveau à nous proposer :

    1. Nolwenn Leroy, avec Bretonne

    Pensez-vous que "Bretonne" mérite que l'on s'y intéresse ?

     

     

    2. Alone in iz World, d'Israël Kamakawiwoole

    Vous félicitez-vous de l'achat de "Alone in iz World" ?

    4. Spiritus Dei, des Prêtres

    5. The Beginning, des Black Eyed Peas

    Aurait-ce été un crime de ne pas acheter "The Beginning" ?


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  • Voilà déjà 12 ans que ce film a été tourné, puisqu'il date de 1999. Il s'agit du trentième long métrage de Woody Allen, et, pour ce faire, le réalisateur a fait appel, pour le rôle principal, à Sean Penn, qui, la majeure partie du temps, aura l'occasion de jouer avec Uma Thurman, en l'occurrence. Il semble que, dans l'abondante filmographie du taleantueux metteur en scène, cette oeuvre ne se distingue pas vraiment du lot, puisqu'aucune récompense n'a été décernée à cette occasion. Toutefois, n'ayons pas peur de dire que le contexte de l'intrigue est le pazz manouche, et, vu que ce genre de musique est dans l'air du temps de ce XXIème siècle, il n'est pas impossible que cette production soit étrangère à l'essor de ce genre, et, du coup, on pourrait se targuer d'avoir lancé, par là. une mode. Et, bien sûr, comme cela serait venu d'un monde où l'illusion règne, la réalité ne peut qu'améliorer ce qui n'est qu'une fiction. Ainsi, on peut remarquer, quand on regarde un vrai guitariste, celui-ci a, sur son visage, des mimiques qui trahissent la passion et la concentration, ce qui ne transparaît pas dans l'oeuvre. Il est vrai que cela doit sûrement dépendre des individus, mais le fait que cela attise la curiosité donne l'envie de savoir que l'acteur-phare est doublé, ce qui lui laisse le loisir de se concentrer sur son jeu. Il est certain que ce dernier a dû prendre des cours, pour assurer sa performance, mais il n'a peut-être pas assez approfondi son apprentissage. Loin de vouloir critiquer le casting, qui est très bon, cela n'est pas le meilleur, en terme d'interprètes (non en nombre), et on a, donc, l'occasion d'expliquer que ce qui fait que les sommets du cinéma peuvent être atteints est la capacité d'adaptation, conjuguée à l'assiduité.

    "Accords et désaccords" fait-il partie des annales du 7ème art ?


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  • Certes, on commence, nous, le deuxième mois de l'année, mais les statistiques du livre, elles, en sont restées entre le 24 et le 30/01/11 :

    1. Indignez-vous, de Stephane Hessel, chez Indigène (essai)

    Avez-vous eu besoin de couverts pour dévorer "Indignez-vous" ?!

    2. Dernière Nuit à Twister River, de John Irving, chez Seuil (roman)

    Seriez-vous prêts à relire "Dernière Nuit à Twisted River" ?

    3. Les Visages, de Jesse Kellermann, chez Points (roman)

    4. L'Enfant Allemand, de Camilla Lackberg, chez Actes Sud (roman)

    5. Françoise, de Laure Adler, chez Grasset Et Fasquelle (essai)

    Avez-vous tari votre soif d'imagination avec "Françoise" ?


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  • On a, ici, le parfait exemple d'une popularité faite par les autres : en l'occurrence, par les médias. En effet, le groupe est régulièrement productif depuis les années 1980, mais les supports de communication modernes ont décidé que la notoriété ne serait pas dynamique pendant la dernière décennie du XXème siècle. Le désintérêt, à cette époque, s'explique sûrement par un manque d'adaptation à une époque nouvelle, qui a fait que l'on s'est vite dit que les artistes en question n'étaient plus, alors, en phase avec les aspirations du public. On pourrait croire que les intéressés ont mis 10 ans à réagir, enfermés dans leur tour d'ivoire de la créativité. Il faut dire, aussi, qu'il y a 6 membres, et que, peut-être, il a fallu renouveler le personnel, car, à part le chanteur - Nicola Sirkis -,  aucun autre musicien n'a su perdurer à travers les âges. Enfin, il faut signaler que ce dernier a eu l'idée lumineuse d'enrichir la formation initiale d'un joueur de guitare rythmique, qui, au début, n'était d'autre que son frère jumeau ; l'ensemble était, alors, très fortement associé au patronyme que l'on a cité. Et, il a fallu attendre encore sept ans - à peu près - pour retrouver les bonnes personnes. Ensuite, les ajustements nécessaires pour que l'alchimie du succès se reconstitue ont consisté à trouver la corde sensible que l'on devait agiter pour attirer l'attention. En ce sens, on peut dire que cette étude est un cas d'école : par là, on met en évidence la fenêtre de la réussite ; c'est là que les journalistes, et, à leur suite, les grosses cylindrées de la communication, font leurs analyses ; par conséquent, si l'on veut tenter de réaliser la conjonction entre ses propres envies et ce que le plus grand nombre plébiscite, c'est à l'intérieur de ce cadre restreint qu'il faut se trouver, quitte à faire des sacrifices personnels.

    Regrettez-vous que l'activité d'Indochine ait été marginalisée ?


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