• Si cette biographie est intéressante, c'est d'abord parce que l'acteur en question fait partie de la troupe du Splendid, en tant que membre fondateur. En effet, avec 3 autres copains, qu'il rencontre au lycée Pasteur de Neuilly-sur-Seine, et qui s'appellent Christian Clavier, Gérard Jugnot et Thierry Lhermitte, la personnalité, dont le nom est l'intitulé, fonde ce café-théâtre, qui connaîtra le succès, en promouvant le film Les Bronzés, en 1978. Autour de ce quattuor de base, il semble que d'autres membres (dont Marie-Anne Chazel et Josiane Balasko), ce qui fait, en tout, 8 protagonnistes. Bien sûr, pour profiter du triomphe que ce collectif est arrivé à créer, d'autres ont voulu en profiter, si bien qu'un Grand Orchestre a été mis en place. Bref, pas mal de monde a pu profiter de l'aura de réussite de cette bande, et, en l'occurrence, l'artiste dont on étudie le parcours a pu bénéficier, dès sa prime jeunesse, de la machine qui a été mise en place, puisqu'il est né le 16 avril 1952 à Courbevoie (92) ; ce qui fait que, déjà à l'âge de 17 ans, il a pu fouler les plateaux de cinéma. Cela s'est, d'abord, fait en tant qu'observateur car, en ce qui le concerne, il a fait ses réels débuts devant la caméra l'année suivante. N'étant pas sûr des compétences de ce jeune élément, on a préféré le laisser se former chez les autres, et, en 1976 (pour ses 20 ans, donc), il peut rejoindre son clan. Mais, parmi cette communauté, chacun a suivi sa voie, et, dans le cas présent, on a poursivi une carrière fructueuse qui, jusqu'à maintenant, a donné l'occasion d'apparaître 64 fois sur le grand écran, en plus des activité de réalisation et de théâtre. 

    Souhaitez-vous que Michel Blanc continue à donner l'exemple ?


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  • La biographie de cet acteur est intéressante, dans le sens où elle est vraiment représentative de ce qui arrive à la plupart des vedettes : grandeur et décadence. D'abord, il est important de situer le point de départ : il est né le 3 octobre 1919 à Valenciennes. A cette occasion, on doit dire, aussi, qu'il est mort à Marrakech le 9 juillet 2004, après 84 ans. Ainsi, il aura eu une carrière d'un peu moins de 70 ans, poisque, par chance, sa première apparition se fait au cours de sa quartorzième année. Toutefois, on ne peut pas vraiment parler de carrière : sa deuxième participation à un tournage se fait 14 ans plus tard, en 1947, alors qu'il a 28 ans. Le lien entre ces 2 faits d'armes est, donc, très ténu, et ce retour de la chance sonnait comme un appel du pied du destin, ce à quoi l'individu se devait de répondre correctement. C'est, peut-être, la raison qui a fait que, l'année suivante au Conservatoire de Paris : cela lui a certainement permis de perfectionner sa technique, mais, là encore, le destin a fait qu'il a été remis sur les rails du cinéma, comme si le sort avait décidé de cela pour lui. Bref, la stratégie est payante, puisque, en tout, il aura pris part à près de 119 films, ce qu'il complète, dès 1949, par des interprétations, à 18 reprises, de rôles au théâtre. En 1958, lorsque la télévision de le mettre en scène, il accepte, bien sûr, ce qu'il réitèrera 38 fois. Enfin, en 1995, il pousse la chansonette. Pourquoi une telle activité ? C'est pour rembourser ses dettes de casino : le jeu est un mal qui peut nous ronger tous.

    Est-ce-que Jean Lefebvre est digne de regrets ?


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  • Ce qui peut être marquant, dans la jeunesse de cet acteur né le 17 août 1960 à Santa Monica en Californie, de parents émigrés d'Europe, est que son père, cinéaste, a fait les frais du maccarthysme. Cela n'a pas empêché ce dernier à vouer ses 3 garçons à des avenirs que l'on peut supposer radieux, puisque l'un est musicien-compositeur, alors que les 2 autres crèvent le grand écran ; malheureusement, l'un d'entre eux (le frère qui était dans le cinéma) meurt en 2006. Bref, en réponse au destin compromis de papa, le fiston (celui que l'on connaît le plus et dont on étudie présentement la biographie) a adopté une attitude vengeresse, comme s'il ne pardonnait pas à l'Amérique sa "chasse aux sorcières" passée. Pourtant, son pays a largement réparé ses erreurs, en lui donnant, notamment, le clés de la réussite (surtout que ce n'était pas lui qu'il fallait consoler), et ce, dès l'âge de 21 ans ; il y a, même, lieu de croire que cela est arrivé avant, si l'on prend en compte les activités télévisuelles. Surtout, c'est l'occasion, pour lui, de côtoyer, dès ses débuts, de grands noms, comme celui de Tom Cruise. 4 ans plus tard, il a, aussi, le privilège de couler des jours heureux auprès de Madonna, rien que ça ! Mais, son tempérament rageur le rattrape, et ce n'est pas ses multiples nominations aux Oscars, ou ses fonctions de réalisateur, de scénariste et de réalisateur, qui réussissent à le calmer. Il faut dire que son image peu orthodoxe lui sert de marque de fabrique. D'un autre côté, cela explique, peut-être, que les 43 tournages auxquels il a participé ne méritent pas de figurer dans les annales du cinéma, et qu'il est loin d'être la personnalité la plus en vue d'Hollywood, malgré ses atouts.

    Vous attendez-vous à ce que Sean Penn crève à nouveau l'écran ?


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  • Il est difficile de repérer, dans cette biographie, les raisons qui expliquent que, aujourd'hui, l'on doit constater. Toutefois, il semble certain que cet acteur, qui est né le 28 janvier 1953 à Paris, est issu d'une famille de restaurateurs juifs espagnole. Il n'est pas passionné par les études, et se contente d'un CAP d'électromécanicien. Avoir ce bagage, même si certains diront qu'il est un peu léger, il peut être assuré d'un sorte de filet de sécurité. C'est pourquoi, puisqu'il faut croire que, à cette époque, il est pressé de vivre, il se lance dans le grand bain de la vie, ce qui l'amène à expérimenter les aspects les moins reluisants de l'existence, comme la précarité et la galère. En effet, il s'en trouve réduit à enchaîner les petits boulots comme livreur ou agent hospitalier. Pire, il doit passer par une phase de chômage, et on doit souligner son goût pour le risque, car il est certain qu'il est plus confortable de rester sur les bancs de l'école, plutôt que d'éprouver les plus grandes peines de Monde à chercher - puis à garder - un travail qui plaît. Par ailleurs, on doit souligner qu'il est, peut-être, bon de s'adonner à ce qu'on pourrait appeler du zapping professionnel, pour trouver véritablement sa voie, au lieu de se complaire dans l'illusion qu'apportent les richesses matérielles. Bref, ses errements lui font trouver un boulot d'animateur de club de vacances sur la Côte d'Azur. Et, c'est là, pour lui, la révélation. Il est tellement enthousiaste qu'il comprend que son avenir est dans la capitale, où il remonte pour s'inscrire à un cours d'art dramatique, avant d'obtenir, en 1977, à l'âge de 24 ans, un premier rôle au cinéma. Il est remarqué et, de fil en aiguille, il parvient à s'ouvrir les portes d'une carrière, qui compte, à ce jour - début 2011 -, 43 films.

    Pensez-vous que Richard Anconina n'a pas fini de faire parler de lui ?


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  • Contrairement à d'autres artistes, celui-ci, qui officie - principalement - en tant qu'acteur, a gardé son nom. Il est né à Paris, en 1948, le 29 février précisément (il faut lui demander, donc, si on lui fête son anniversaire qu'une fois tous les 4 ans ; si c'est le cas, cela l'a peut-être stimulé, pendant son enfance, passée dans le 14ème arrondissement). Concernant sa jeunesse, on doit, quand même, signaler son ouverture d'esprit ! il part, à la fin de ses études, dans un kibboutz. Sachant qu'il fait partie d'une famille algérienne,  on doit conclure, soit qu'il est Juif séfarade, soit qu'il est doté d'un extraordinaire pouvoir de persuasion. Dans le cadre de cet article, on préférera la deuxième option, bien que la première soit plus probable. Bref, au bout de 4 mois, il rentre en France (il a peut-être compris, alors, que son destin doit se dérouler dans son pays natal), où il prend des cours d'art dramatique. Parallèlement, il écume les cafés-théâtres de la capitale, en compagnie de son acolyte pendant dix ans : Jean-Pierre Bacri. On en arrive à ce triste jour de 1972, où il rate le concours d'entrée au Conservatoire national, dont on a cité la spécialité. Tout est raté, a priori, puisque, s'il veut réussir pendant sa prime jeunesse, il est un peu tard, à 24 ans, pour repartir de 0. Heureusement, il semble que ses activités de porte-à-porte paient l'année suivante, quand il est remarqué par Roger Hanin, et fait ses premiers pas au cinéma. Cela lui met le pied à l'étrier, pour carrière de 55 films (en 2011), complétée par des prestations au théâtre, et au micro, aussi.

    Avez-vous développé des atomes crochus platoniques avec Gérard Darmon ?


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