• Concernant ce rappeur, il est important de savoir qu'il s'agit, en fait, d'Aurélin Cotentin, qui, contrairement à ce qu'indique son nom (à un "t" près), est né à Alençon en Normandie. Il faaut savoir, aussi, qu'il est le fils d'une institutrice et d'un directeur de collège, ce qui laisse supposer que, avec les revenus confortables liés à ces fonctions, il a une enfance plutôt sereine. Sans doute que la fait qu'il n'ait pas été nourri par les sons de la musique rap, qui, parfois, ont tendance à abrutir l'auditeur - il faut le reconnaître ; peut-être à cause du flow - c'est-à-dire le débit - important : il a découvert le rythme urbain à l'âge de douze ans environ (vraisemblablement en 1994, puisqu'il est né le 1er août 1982). Avant, il écoutait du rock ; il a opéré un drôle de changement, dans ses goûts musicaux.  Il semble que c'est quelques années plus tard qu'il décide de s'investir encore plus dans cette voie : alors qu'il est aux Etats-Unis, il met les pieds dans le plat, en écrivant une première chanson, et on peut dire que son voyage outre-Atlantique a dû le motiver, car il en revientavec quelques productions à son actif. Toutefois, la reconnaissance est encore loin, et il llui faut encore traverser une période d'errements, faite de petits expédients, c'est-à-dire des petits boulots. C'est sûrement à ce moment qu'il se dirige le plus vite vers le firmament, puisque ces années sont consacrées à rameuter des auditeurs sur Internet. Jusqu'à ce jour béni de 2008, où il est repéré par un label, qui lui permettra de sortir un premier album. Manque le coup de grâce, pour recevoir la consécration : ce sera un titre très controversé, salissant l'image de la femme (que, bien sûr, on a pris soin de ne pas graver sur un disque), qui lui ouvre les portes du succès.

    Est-ce-que, désormais, Orelsan est parti pour briller ?


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  • L'histoire de ce groupe débute en 1983, et on peut dire que la chance l'a aidé à se hisser sur la scène internationale, et a briller. Déjà, parce l'étincelle initiale a pu se transformer en fllamme durable, grâce à une série d'extravagances, par lesquelles, semble-t-il, un encadrement s'est mis en place autour de la formation. C'est sûrement cela qui l'a sauvé, puisque, le moyen par lequel les premières prestations ont été par l'intermédiaire de coups d'éclats, qui s'apparentent plus à des performances physigues qu'à de réelles prouesses artistiques. Si bien que, sur les 4 membres du collectif, qui étaient tous issus du même lycée, 2 ont quitté le bateau au moment le plus crucial, c'est-à-dire lors de la préparation du premier album, parce que - laissent-ils penser - ils ne peuvent croire à la réussite d'un groupe qui attire les foules en se pavanant sur scène vêtu d'une simple chaussette en guise de cache-sexe. Cela dit, ceux qui restent (et qui, après le départ de leurs compagnons, auraient pu être lâchés dans la nature, en étant contraints de suivre à nouveau le cours d'une vie banale) sont natifs de l'année 1962, et ceux qui sont arrivés en remplacement n'avaient pas forcément le même âge : le charme initial était rompu. Aussi, l'unité générationnelle du groupe de Los Angeles finit par se reconstituer, avec les protagonistes du début. Mais cette osmose ne dure que peu de temps car, en 1988, le guitariste meurt. Il faut, donc, en retrouver un, et, là, le deuxième coup de pouce du destin intervient, bien que le sort ne soit pas aussi clément. En effet, pour cet instrument, 2 musiciens doivent se succéder, avant que l'on tombe sur le bon. Mais, concernant celui-ci, les dés ne sont pas jetés, puisque le nouveau venu n'est en poste que depuis 3 ans. Surtout, il pourrait être considéré comme accessoire, vu que les 3 autres, à savoir le chanteur, le bassiste et le batteur sont plutôt indéboulonnables.

    Serait-il dommage que les Red Hot Chiili Peppers n'écrivent plus ?


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  • Voici un artiste qui, contrairement à beaucoup d'autres, n'a pas peur de faire connaître son vrai nom, puisqu'il s'agit, en fait, de Christophe Miossec. Ce patronyme porte la consonnance de sa région natale : il s'agit de la Bretagne. Pour être précis, ce fils de pompier plongeur est né à Brest le 24 décembre 1964, et, dès sa naissance, il porte les marque de sa cité, dans le sens où, en plus du fait que - comme on l'a dit - son père est un habitué des milieux sous-marins, sa mère est une ancienne employée de la Marine nationale ; ainsi, les gens qui le croisent ont en face un vrai gars du pays. Cela dit, lui et son entourage n'ont pas réusssi, à mettre an avant son goût pour la musique (sans savoir en faire une publicité suffisante), et, du coup, il se perd dans des activités de presse et de télévision. Toutefois, il avait su se promouvoir au niveau local, dès les années 80, pendant sa vingtaine, donc. Et c'est grâce à ces premiers succès précoces qu'il peut, à partir de 1994 - lors de sa trentième année -, se consacrer pleinement à son talent concernant la composition sonore. A ses débuts de puriste, il joue dans un trio, avec lequel il sort un premier album. Jusque là, l'unicité de sa personne n'a pas à être reconnnue, vu que, lors des concerts, ainsi que sur la pochette, ce n'est pas lui que l'on annonce. On va dire que cela change, à partir du moment où il décide de s'entourer de nouveaux collaborateurs. Il est difficile de croire que c'est lui qui a décidé, de façon unilatérale, de lâcher ses partenaires ; cela est possible, mais, alors, son infidélité ferait peur. C'est pourquoi, on préfèrera croire que leur séparation est la conséquence d'une incompatibilité d'humeur, et que ses compagnons ont fait une erreur monumentale, en le quittant.

    Doit-on s'émouvoir du fait que Miossec ait enfin trouvé sa voix ?


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  • Avec cet artiste, on a vraiment l'exemple de la manière de réussir, au sein de la génération précédant les nôtres, puisque ce monsieur est né le 22/05/1924 à Paris. Tout le monde sait qu'il est d'origine arménienne, et son vrai nom est Chahnourh Varinag Aznavourian. Il voit le jour dans une famille qui, semble-t-il, était plutôt aisée, dans laquelle il trouve une soeur aînée. Sa première chance qu'il a eu est, peut-être, d'avoir vu le jour par accident : au moment de sa naissance, ses parents tentaient de rejoindre les Etats-Unis, et attendaient d'obtenir un visa. On peut se demander, donc, si c'est le petit qui a eu la chance de naître en France, ou si c'est cette nation qui doit s'estiimer heureuse d'avoir accueilli quelqu'un qui, par la suite, allait les beaux jours de sa scène musicale. Quoi qu'il en soit, la famille, qui devait en avoir marre d'attendre son ticket d'admission chez l'Oncle Sam,  a dû se ravise, en restant dans ce pays qui lui a porté chance, dans la mesure où il lui a donné un quatrième membre. Et le destin viendra confirmer ce bon choix, puisqu'elle peut compter sur les revenus confortables d'un restaurant. Le fait que, au bout de 9 ans, le plus jeune des 2 enfants croise le chemin de la musique, et se mette au chant, n'a sûrement pas éveillé ses soupçons, quant au merveilleux avenir qui se préfigurait. En revanche, le fait que, à 22 ans, le jeune homme réussisse à accompagner Edith Piaf en tournée mondiale laissait penser à ce qui allait se passer. Même l'avis défavorable de ses professeurs n'y change rien, et, avec de la persévérance, il parvient à ses fins, ce n'est que 10 ans plus tard qu'il trouve la consécration. Cela lui permettra de faire une carrière internationale, qui, si l'on compte les opus étrangers et live, compte bien plus de 100 albums.

    Considérez-vous Charles Aznavour comme votre chanteur préféré ?


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  • Ce rappeur américain n'était pas destiné à devenir ce qu'il est devenu : en effet, son vrai nom est Shawn Corey Carter, ce qui n'est pas vraiment vendeur. Ainsi, en choisissant un pseudonyme, il s'est déjà assuré de faire un pas (minime) vers le succès. Surtout, on ne lui a pas donné le bon exemple, puisque, une fois né le 4 décembre 1969 à Brooklyn, le célèbre quartier de la ville de New York, son père a rapidement quitté le foyer familial, laissant le soin de l'éducation du rejeton à la mère. A part cela, il semble que l'on ne sait pas grand chose sur l'enfance et l'adolescence de cet artiste : peut-être qu'il n'aime pas trop que l'on dévoile sa vie antérieure au succès, car il arrive souvent que les gens qui font de la musique de rue ont un pass obscur et crapuleux. Vu que, par la suite, ils savent tellement bien se ranger qu'ils parviennent à se faire tout un pays, voire plus, il y a lieu de croire que, pendant leur prime jeunesse, ils sont traversés par de néfastes influences, caractéristiques de l'environnement dans lequel ils grandissent. En l'occurrence, la Vie lui aura laissé le temps de vagabonder, avant de s'oriienter vers le succès. C'est en 1996 (alors qu'il a 26 ans - il est de la fin de l'année) que la fondation de son label va le sortir de l'anonymat. Cela est facilité par l'ambition du jeune homme, qui, à partir de ce moment, et pendant une période de 8 ans, il sort un album par an ; et il est encouragé, dans la mesure où le premier fait déjà un tabac. Bref, son succès est dû au fait qu'il a mis la tête dans le guidon pendant tout ce temps, et sa régularité à payé. Ensuite, il s'arrêtte pendant 3 ans, et repart pour la livraison de 3 nouvelles oeuvres, ce qui fait 11 au total.

    Vous morfondez-vous dans l'attente d'un coup d'éclat de Jay-Z ?


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