• Avec cet article, on a l'occasion de s'intéresser à Katheryn Elisabeth Hudson Brand, qui est née le 25/10/84 à Santa Barbara (89.000 hab.), en Californie, au Nord de Los Angeles. Il est difficile de repérer un accident moral, dans son enfance, qui fait qu'elle a eu la force de se hisser au plus haut niveau. Au moins, on peut profiter de l'opportunité de fustiger le puritanisme américain, puisqu'elle est la fille de 2 pasteurs, qui ont eu 3 enfants, parmi lesquels elle est la deuxième. Les parents ne font pas l'objet de cette étude, et on se contentera de dire que le mérite de la chanteuse est d'avoir su s'extirper du carcan religieux dans lequel elle était enfermé. Il est vrai qu'il doit être assez agaçant de se savoir destiné à la prière (ce qui revient à demander quelque chose que, par cet acte, on admet ne pas pouvoir se procurer soi-même) et à se fondre dans la masse des fidèles. Donc, par son excellence, elle a su se délester du poids des principes qu'ont, habituellement, les croyants. EEt, dans cet affranchissement, elle a dû être aidée : d'abord, parce qu'elle a rejoint Los Angeles dès ses 17 ans, pour y produire son premier album, qui, peut-être pour ménager son entourage, est de la musique chrétienne, D'ailleurs, ce "bébé" est éponyme, comme si l'on voulait faire croire à la petite fille bien rangée. Tout change à partir de sa seconde oeuvre, par laquelle elle se lache, preuve que l'influence des directeurs artistiques l'a pousser à casser les codes sociaux que l'on supposait être les siens. On peut noter, par ailleurs, qu'elle est soucieuse du droit, puisqu'elle change son nom de scène, pour ne pas gêner l'actrice Kate Hudson ; une chance qu'elle n'aura pas, elle, puisqu'une styliste australienne s'appelle Katie Perry.

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  • Voici une artiste qui marque la persistance de la puissance américain face aux contestations chinoises de l'ordre établi. Preuve en est, en premier lieu, son âge, puisque, au moment où on rédige cet article, elle n'a même pas 25 ans : elle est née le 28 mars 1986 à New York. De son vrai nom Stefani Joanne Angelina Germanotta, on doit savoir que, à cause de son excentricité et son tempérament provocateur, on la désigne souvent comme l'héritière spirituelle de Madonna, surtout que, comme elle, elle est d'origine italienne. Et, en elle, cette dernière superstar transgénérationnelle a trouvé quelqu'un digne de lui succéder. En effet, la jeune femme, qui découvre à peine ce qu'est la notoriété internationale a pour elle une formation plutôt correcte, puisque, dès ses 4 ans, elle apprend, de façon autonome, le piano. En parallèle d'une éducation classique, elle affirme, très tôt, son goût pour la chanson et pour l'écriture. Cela lui ouvre les portes d'une école d'art, ce qui améliore son bagage. De plus, sa personnalité lui permet d'essuyer les échecs qui peuvent survenir : on citera, pour en faire la démonstration, cette mésaventure qui a dû retarder son éclosion : le directeur d'une maison de disques lui a fait miroiter l'ouverture d'un chemin vers la gloire, dans lequel elle s'est, bien sûr, engagé, par opportunisme. Mais, la mauvaise intention du producteur était d'abuser sa pouliche, puisqu'elle ne l'a plus vu, à partir du moment où elle a signé : vu le physique pas désagréable de la starlette, il ne sert à rien de douter de ce qu'il s'est passé ; l'important est qu'elle a su se relever.

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  • On a, ici, le parfait exemple d'une popularité faite par les autres : en l'occurrence, par les médias. En effet, le groupe est régulièrement productif depuis les années 1980, mais les supports de communication modernes ont décidé que la notoriété ne serait pas dynamique pendant la dernière décennie du XXème siècle. Le désintérêt, à cette époque, s'explique sûrement par un manque d'adaptation à une époque nouvelle, qui a fait que l'on s'est vite dit que les artistes en question n'étaient plus, alors, en phase avec les aspirations du public. On pourrait croire que les intéressés ont mis 10 ans à réagir, enfermés dans leur tour d'ivoire de la créativité. Il faut dire, aussi, qu'il y a 6 membres, et que, peut-être, il a fallu renouveler le personnel, car, à part le chanteur - Nicola Sirkis -,  aucun autre musicien n'a su perdurer à travers les âges. Enfin, il faut signaler que ce dernier a eu l'idée lumineuse d'enrichir la formation initiale d'un joueur de guitare rythmique, qui, au début, n'était d'autre que son frère jumeau ; l'ensemble était, alors, très fortement associé au patronyme que l'on a cité. Et, il a fallu attendre encore sept ans - à peu près - pour retrouver les bonnes personnes. Ensuite, les ajustements nécessaires pour que l'alchimie du succès se reconstitue ont consisté à trouver la corde sensible que l'on devait agiter pour attirer l'attention. En ce sens, on peut dire que cette étude est un cas d'école : par là, on met en évidence la fenêtre de la réussite ; c'est là que les journalistes, et, à leur suite, les grosses cylindrées de la communication, font leurs analyses ; par conséquent, si l'on veut tenter de réaliser la conjonction entre ses propres envies et ce que le plus grand nombre plébiscite, c'est à l'intérieur de ce cadre restreint qu'il faut se trouver, quitte à faire des sacrifices personnels.

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  • Le pseudonyme de ce chanteur peut être supposé être vendeur, puisque c'est, en fait, James Hillier Blount, né le 22 février 1974, dans une région qui se situe entre la Cornouailles et le Pays de Galles, en Angleterre. Il semble que le drame de sa vie ait été de naître dans une famille de militaires de père en fils. Malgré que, tôt dans sa vie, il a affirmé sa préférence pour la musique, en apprenant à jouer de plusieurs instruments, il a dû retrouver la tradition de ses aînés. Sûrement qu'il a dû conclure un pacte avec ses parents, comme quoi ils le laisseraient tranquille après une première campagne, et, pour eux, cela aurait été une humiliation impardonnable de savoir que le plus grand des trois enfants ait renoncé à ses engagements. Par conséquent, on peut dire qu'un des traits de caractère d'une personnalité vertueuse (la sienne l'est) est de savoir honorer ses promesses. Ainsi, pour lui, son baptême du feu aura été la mission de l'OTAN au Kosovo. Et, là encore, il signifie à ses supérieurs qu'il n'est pas fait pour l'armée : il a refusé d'attaquer l'aéroport de Pristina, arguant que ce raid pourrait créer une crise diplomatique internationale. Il s'est probablement trompé, puisque cela n'est pas arrivé, et le commandement allié a dû se faire un plaisir de ne pas tenir compte des préoccupations d'un simple soldat : dans ce milieu, un subordonné qui pense doit être mis à l'écart. Néanmoins, on a eu le chic de ne pas le forcer à monter au front. Du coup, tout cela lui permet, en 2004, de se reconvertir de la chanson, et, en 6 ans, il aura pu s'imposer, avec ses 5 albums, comme une star internationale.

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  • Il est intéressant d'en apprendre un peu plus sur ce chanteur hawaïen né le 20 mai 1959 à Honolulu. Première information : il est déjà mort (le 26 juin 1997, à 38 ans) d'une insuffisance pulmonaire due à son obésité (190 cm, 344 kg). S'il est plutôt qu'il puisse cartonner, maintenant, en France, il faut remarquer, quand même, que son album a mis plus de 13 ans a se faire connaître. Il est certain qu'il y a eu, là, une sorte de discrimination contre les gros. Mais, enfin, on a daigné nous faire partager l'excellence de cet artiste, qui, de toute évidence, n'aurait pas dû mourir. Surtout qu'une notoriété naissante commençait à se faire jour, si bien bien que, l'année de son décès, il était à l'hôpital, alors qu'il recevait une récompense pour sa carrière, commencée 21 ans plus tôt (à 17 ans, donc, ce qui est précoce), au sein d'une formation musicale locale. S'il avait vécu plus longtemps, on peut croire qu'il n'y aurait pas eu besoin de l'aide d'un tiers, car il est certain que, depuis sa disparition, il y a quelqu'un pour promouvoir la production du défunt. Mais, quand la Vie a décidé d'une fin tragique, il n'y a, peut-être, rien à faire ; et, on doit voir, dans ce drame, une alerte selon laquelle il est urgent d'agir contre la malbouffe, qui, peut-être, est plus un problème psychologique que de mauvais produits. En effet, si certains grossissent à n'en plus finir, c'est - avant tout - parce qu'ils ne savent pas résister à la pression que fait peser sur eux leur estomac, entre autres. Certes, on ne peut ignorer l'incidence de leurs gènes sur le malheur.

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