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Entre le 12 et le 18 septembre, les meilleures ventes ont été celles-ci :
1. La Délicatesse, de David Foenkinos, chez Gallimard (roman)
Est-ce-que "La Délicatesse" mérite que vous en soyez lecteur ?
2. Limonov, d'Emmanuel Carrere, chez Pol (roman)
La lecture de "Limonov" est-elle une expérience enchanteresse ?
3. Le Passager, de Jean-Christophe Grangé, chez Albin Michel (roman)
Votre esprit est-il repu d'avoir lu "Le Passager" ?
4. Rien ne s'oppose à la nuit, de Delphine De Vigan, chez Lattes (roman)
"Rien ne s'oppose à la nuit" est-elle une expérience enchanteresse ?
5. 1Q84 T.1 ; Avril-Juin ; de Haruki Murakami, chez Belfond (roman)
Votre libraire a-t-il bien fait de vous vendre le tome 1 de "1Q84" ?
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Sur les 14 sorties de la semaine, en voici 5 :
La Nouvelle Guerre des Boutons, un film de Christophe Barratier, avec Laetitia Casta, Guillaume Canet
"La Nouvelle Guerre des Boutons" se fera-t-elle sans vous ?
Mais comment font les femmes ?, un film de Douglas McGrath, avec Sarah Jessica Parker, Pierce Brosnan
"Mais comment font les femmes ?" se fera-t-elle sans vous ?
Le Cochon de Gaza, un film de Sylvain Estibal, avec Sasson Gabai, Baya Belal
Est-ce-que "Le Cochon de Gaza" ne se fera pas sans vous ?
Restless, un film de Gus Van Sant, avec Henry Hopper, Mia Wasikowska
Est-ce-que "Restless" ne se fera pas sans vous ?
Mineurs 27, un film de Tristan Aurouet, avec Jean-Hugues Anglade, Nassim Si Ahmed...
Est-ce-que "Mineurs 27" ne se fera pas sans vous ?
Box-office du 07/09 :
1. Sexe entre amis, un film de Will Gluck, avec Justin Timberlake, Mila Kunis
Confirmez-vous le succès de "Sexe entre amis" ?
2. Destination finale 5, un film de Steven Quale, avec Nicholas D'agosto, Emma Bell
Avez-vous refusé de quitter "Destination Finale 5" ?
3. Habemus Papam, un film de Nanni Moretti, avec Michel Piccoli, Nanni Moretti
Confirmez-vous le succès de "Habemus Papam" ?
4. La Planète des Singes : les origines, un film de Rupert Wyatt, avec James Franco, Freida Pinto...
Direz-vous "J'y étais", en parlant de "La Planète des singes" ?
5. La Guerre est déclarée, un film de Valérie Donzelli, avec elle-même, Jérémie Elkaïm...
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Cette chanson, qui est sortie en 1967, est mythique, avec plusieurs reprises et remixes ; preuve que les générations qui lui sont postérieures ont été séduites. Sur la page Innternet que voici, la traduction est proposée. La première chose à dire est que cet enchaînement de paroles n'a rien de formidable. Déjà, on peut voir que le texte nexte n'est pas vraiment long, puisqu'il ne s'agit que d'un "refrain", que l'on fait varier, d'abord, puisque l'on répète intégralement, après que l'on a chanté le seul couplet. La conclusion est aussi un rappel des mots précédents. Sans surprise, on insiste sur ce détail, qui est un cliché du mouvemennt hippie : la fleur dans les cheveux. Autre trait caractéristique : l'amour, puisque la mouvance en question veut que tous ses membres vivent avec ce sentiment vissé au coeur. Alors, l'accueil de l'étranger doit être irréproche, dans la générosité. Les mots qui suivent, c'est-à-dire ceux qui ne sont pas censé revenir, sont plus intéressants, dans le sens où ils soulignent comment les gens, à la fin des sixties, ont vu l'éclosion de ce nouveau courant idéologique, qui est basé sur la liberté. Cela a été considéré comme une révolution, qui a traversé tout le pays, comme si la Californie - son berceau - était, à ce moment, l'endroit où il fallait être, et, cela explique qu'il y avait une certaine fierté à être porteur de cette émancipation. On peut parler, peut-être, de croisade visant à détruire les carcans traditionnels de l'ordre établi. Avec le recul, on peut dire que cette effusion de bons sentiments était trop belle pour la nature humaine, qui, très vite, nous a fait retrouver le chemin de la méchanceté habituelle mais avec cette idée en plus : le sexe est, désormais, un moyen d'humiliation.
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Il aura fallu attendre la période comprise entre le 5 et le 11/09/11 pour voir arriver ces nouveaux titres :
1. I wanna go, de Britney Spears
Avez-vous été sujet à un achat compulsif avec "I wanna go" ?
2. Elisa Tovati & Tom Dice, avec Il nous faut
Avez-vous été sujet à un achat compulsif avec "Il nous faut" ?
3. Party Rock Anthem, de LMFAO
Pourrez-vous voir la vie en rose grâce à "Party Rock Anthem" ?
4. David Guetta feat. Taïo Cruz & Ludacris, avec Little bad girl
Avez-vous été sujet à un achat compulsif avec "Little bad girl" ?
5. Collectif métissé, avec Laisse tomber tes problèmes
Etes-vous tombé sous le charme de "Laisse tomber tes problèmes" ?
Après avoir décrit les mouvements des singles, voici les albums :
1. David Guetta, avec Nothing but the beat
Aurait-il été stupide de renoncer à l'achat de "Nothing but the beat" ?
2. Adèle, avec Adèle/21
"Adèle/21" a-t-il obtenu le droit de cité au sein de votre collection ?
3. I'm with you, des Red Hot Chili Peppers
Aurait-il été stupide de renoncer à l'achat de "I'm with you" ?
4. Toujours, de Charles Aznavour
Aurait-il été stupide de renoncer à l'achat de "Toujours" ?
5. Nolwenn Leroy, avec Bretonne
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Le film que voici est très ancien, puisqu'il date de 1935. Il est l'oeuvre d'un grand réalisateur japonais : Kenji Mizoguchi. A cette date, le cinéma était muet, et cette production est la dernière sans son de ce metteur en scène. Toutefois, le peuple en question a eu la bonne idée de faire lire les répliques à un personnage spécial - le benshi - qui restait devant l'écran pendant la projection ; c'est ce que l'on nous explique dans les suppléments. Et, malgré que quelqu'un était là pour lire, les cartons de texte, qui rythmaient les images, sont toujours là. On nous dit, aussi, que ce métier fut une véritable institution, et l'Empire du Soleil Levant n'a connu que tardivement la synchronisation de la musique avec ce qui a été enregistré par la caméra, à cause de cette corporation. Il pouvait arriver que ce lecteur public, que l'on traite de "bonimenteur", soit mieux payés que les acteurs, ce qui explique, peut-être, que ce que l'on entend est, parfois, décalé avec ce que l'on pourrait lire (il s'agit d'idéogrammes), car, pour prendre de l'importance, l'orateur devait - très certainement - apporter son interprétation, en faisant entendre sa voix aux moments les plus opportuns. Du reste, il faut couligner ce thème : cela est indiqué par le titre : il n'est pas inutile de considérer le matériau quii y est mentionné - celui dont on se sert pour écrire. Cela évoque la fragilité, et on est frappé, dans ce long métrage de 87 minutes, par le contraste qui existe entre les uns, qui ont un tempérament par lequel on ne veut pas faire de détails, et les autres, qui, plus sensibles, analysent sans doute mieux la situation. Ce dernier exercice ne dépend pas du sexe, et on ne peut pas voir, à travers cela, le clivage homme/femme.
Aurez-vous la curiosité nécessaire pour voir "La Cigogne en papier" ?
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