• Suite à un mouvement de regroupement, l'activité de cette section est transféré sur le site http://democratos.over-blog.com, rubrique Informations Culturelles, puis Films du passé !

    Merci de votre compréhension !


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  • Pour cette fois-ci, on a pas affaire à un film si vieux que cela, puisqu'il s'agit d'une production sortie à l'occasion de l'année 2001, mais qui a été ttourné, en partie, en 2000. Dans le cadre du massif du Vercors, le réalisateur, dont le nom n'évoque malheureusement aucun précédent fameux (semble-t-il), a réuni 2 acteurs, qui ne sont pas de la même génération : il s'agit de Mathilde Seigner et Michel Serrault. Ces deux-là se trouvent à l'écran pendant 103 minutes, et il y a peu de chance que cela se soit reproduit, que ce soit avant ou après. On reprendra l'élément qui est peut être le plus marquant du long-métrage à la fin de celui-ci, lors d'un enterrement, on joue le titre Lullaby du groupe de musique américain, orienté vers le jazz, à savoir Pink Martini, qui utilise le français pour rayonner. La chanson en question n'est, en fait, qu'une variation d'un autre tube du même album, c'est-à-dire Sympathique, mieux connu par ses paroles emblématiques : "Je ne veux pas travailler...". Cela est une chanson d'amour, dans laquelle la chanteuse dit que sa seule envie est d'oublier son amour raté. Autrement dit, la concordance de ce texte avec une célébration mortuaire est une chose improable. Cette faute de goût n'est pas imputable à la seule équipe de cinéma, puisqu'il ne s'agit pas d'une improvisation. C'est surtout de l'autre côté de l'Atlantique que l'on a eu une idée iconoclaste : adapter ce qu'ils ont fait avec un chant d'église (il s'agit plus précisément d'un fredonnement) est un peu bizarre. Mais, sans doute ne l'ont-ils pas fait dans l'objectif d'être suivis. Il est problable qu'ils ont fait cela pour s'amuser. Quoi qu'il en soit, ce n'était pas, dans le cas que l'on traite, le choix du défunt, car la formation est beaucoup trop jeune pour lui.

    Doit-on juger "Une hirondelle a fait le printemps" sur ce que l'on dit ?


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  • Ces deux films datent de 1935. Ils s'inscrivent - on s'en doute -dans la droite ligne de celui que l'on a commenté, c'est-à-dire La Cigogne en Papier : on pourrait dire, même, qu'ils le complètent, dans le sens où les 3 oeuvres sont réunies dans le même coffret, qui est destiné un éclairage sur le cinéma japonais des années 30, à travers l'oeil du réalisateur Kenji Mizoguchi. Cette fois, on a visionné le deuxième et dernier DVD de cet ensemble, dans lequel les suppléments donnent des informations intéressantes. Ainsi, on apprend que Isuzu Yamada était une véritable star dans son pays. Elle joue dans le long métrage déjà traité, et dans le premier que l'on propose présentement. A cette différence près que cette nouvelle apparition lui donne l'occasion de faire entendre sa voix, puisque, au milieu de la décade dont il est question, le cinéma parlant est déjà assez répandu. Si bien que, dans cette article, on a choisi de s'attarder sur la bande-son. En effet, on voit que, malgré que les deux films soient de la même année, il y a bien une évolution, qui doit correspondre au temps d'adaptation à la nouvelle technique. D'abord, on remarque que, sur 78 minutes, les paroles sont assez rares, et le sous titrage laisse bien le temps de reprendre haleine entre ses intervention ; de plus, l'imitatiion du bruit des sabots d'un cheval fait sourire, tellement l'instrument qui a été en employé s'éloigne de la réalité. La deuxième production, qui dure 68 x 60 secondes, est bien différente, avec un scénario beaucoup dense, en termes de mots. Le fait qu'elle soit plus courte s'explique peut-être par le coût encore assez élevé de cette technologie, qui est à l'origine du - désormais - célèbre clap de synchronisation.

    Peut-on dire que la présentation de ces 2 films est pertinente ?


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  • Le film que voici est très ancien, puisqu'il date de 1935. Il est l'oeuvre d'un grand réalisateur japonais : Kenji Mizoguchi. A cette date, le cinéma était muet, et cette production est la dernière sans son de ce metteur en scène. Toutefois, le peuple en question a eu la bonne idée de faire lire les répliques à un personnage spécial - le benshi - qui restait devant l'écran pendant la projection ; c'est ce que l'on nous explique dans les suppléments. Et, malgré que quelqu'un était là pour lire, les cartons de texte, qui rythmaient les images, sont toujours là. On nous dit, aussi, que ce métier fut une véritable institution, et l'Empire du Soleil Levant n'a connu que tardivement la synchronisation de la musique avec ce qui a été enregistré par la caméra, à cause de cette corporation. Il pouvait arriver que ce lecteur public, que l'on traite de "bonimenteur", soit mieux payés que les acteurs, ce qui explique, peut-être, que ce que l'on entend est, parfois, décalé avec ce que l'on pourrait lire (il s'agit d'idéogrammes), car, pour prendre de l'importance, l'orateur devait - très certainement - apporter son interprétation, en faisant entendre sa voix aux moments les plus opportuns. Du reste, il faut couligner ce thème : cela est indiqué par le titre : il n'est pas inutile de considérer le matériau quii y est mentionné - celui dont on se sert pour écrire. Cela évoque la fragilité, et on est frappé, dans ce long métrage de 87 minutes, par le contraste qui existe entre les uns, qui ont un tempérament par lequel on ne veut pas faire de détails, et les autres, qui, plus sensibles, analysent sans doute mieux la situation. Ce dernier exercice  ne dépend pas du sexe, et on ne peut pas voir, à travers cela, le clivage homme/femme.

    Aurez-vous la curiosité nécessaire pour voir "La Cigogne en papier" ?


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  • Ce film n'est pas si anhcien, puisqu'il date de 2002. Pour ceux qui ne sont pas particulièrement cinéphiles, on peut juste dire que, sur toute l'équipe à l'origine de cette oeuvre, seul le nom de Roman Polanski est à retenir, et cela montre combien le scénario, sur lequel le succès de cette production repose, a de la valeur, ce que plusieurs Césars et Oscars - entre autres - ont largement salué. On peut, donc, être sûr du fait qu'il s'agit d'un morceau de choix, auquel on a tout intérêt de consacrer du temps. D'autant que le personnage qu'il met en scène, c'est-à-dire un musicien, est tout aussi rare que ce genre de long-métrage. C'est sur ce point que tout s'appuie : dans les situations désespérées, dans lesquelles tout le monde est écrasé, seuls qui auront su montrer, auparavant, qu'ils valent le coup d'être sauvés. Et comme, d'après ce que l'on a dit, les uns et les autres n'ont plus beaucoup de pouvoir, mais qu'il faut mettre bout à bout les facilités que l'on nous a diversement accordé pour que cela devienne significatif, il convient, pour son salut, d'avoir joui d'une large notoriété, pour pouvoir faire l'unanimité. Vu que, de toutes façons, le Monde est trop vaste et trop varié pour que l'on puisse être connu de chacun, la meilleure façon de perpétuer cela est d'entretenir, en soi-même, la flamme du savoir-faire, car cette histoire témoigne du fait que la maîtrise des sujets que tous le monde aime est salvatrice, surtout quand cela est fait avec excellence.

    Est-ce que "Le Pianiste" représente un tournant dans votre vie ?


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