• Avec son accent assez reconnaissable, on peut avoir l'habitude d'entendre les informations que cache ce nom : ainsi, on ne peut plus être grandement surpris de (re)voir qu'il s'agit, en fait, d'André Robert Raimbourg, mais, puisque son cousin germain est déjà dans le milieu du show'business, il préfère adopter, pour éviter la confusion, un pseudonyme, du nom du village où il a grandi. Cela se situe en Normandie, non loin du lieu - Prétot-Vicquemare - où il est né le 27 juillet 1917, et sa manière de parler était, danc, assez représentative de l'imaage que l'on se fait de sa région natale ; on peut dire que, sur ce point, sa force a été de bien cerner les travers des gens de cette contrée, pour s'en moquer par la suite (avec un mélange d'autres personnages). En plus, il est parvenu à mettre au point cet archétype, puisque, après un apprentissage local de boulanger, il part conquérir la capitale, alors qu'il vit la seconde moitié de la vingtaine, c'est-à-dire qu'il a, alors, entre 25 et 30 ans. Si on recherche ce qui a pu le motiver au point de devenir une des élites de la nation, il faut savoir que, vu que son père est mort en participant aux combats de la Première Guerre Mondiale, il ne l'a jamais connu. Toutefois, il est hasardeux de penser qu'il a été en manque d'affection, car sa mère a su reconstruire une famille assez rapidement : s'il a eu la rage de vaincre, cela a été inconscient. Malheureusement, tout cela s'arrête lorsqu'il a 53 ans (le 23 septembre 1970), térassé par un cancer du sang. Au final, il aura été plus acteur que chanteur, avec 64 longs métrages contre 22 chansons.

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  • La carrière de cet homme de cinéma (car on ne peut parler d'un simple acteur) est passionnante, et en étudier juste l'enfance n'est pas une mince affaire. Tout commence, pour lui, le 31 mai 1930 à San Francisco ; cependant, il descend d'une famille qui a traversé toutes les époques de la jeune histoire des Etats-Unis. A cette époque, il est encore Clinton Elias Eastwood Jr., et, bientôt, on raccourcira son prénom, de même que l'on oubliera que son père répondait, quand on faisait le même appel. D'ailleurs, il serait injuste de ne pas parler de ce dernier individu, car, s'il y a quelque chose de marquant dans l'enfance de celui dont on étudie la biographie, c'est que sa famille a été touchée de plein fouet par ces années qui constituent La Grande Dépression ; ainsi, on doit une fière chandelle au chef de famille d'alors, qui s'est toujours démené pour avoir un travail décent, même s'il a fallu déménager. Cette source de revenus plus ou moins continuelle a empêché que s'installe entre les parents des tensions durables, qui ont mis le fils à l'abri des coups qu'a porté l'adversité. Du coup, pour en reveni à lui, celui-ci a pu suivre une scolarité pas trop mouvementé - au moins pendant l'adolescence. En conséquence, il a pu s'initier à de nombreux domaines d'activité, grâce à cela. Et, après l'obtention de l'examen final, c'est grâce à sa formation de maître-nageur qu'il échappe aux foudres de l'armée. Car, en étant obligé de faire son service militaire, il est destiné à partir au front, en Corée. Heureusement, son excellence fait qu'il reste au camp, où il est même repéré par des producteurs de cinéma, alors qu'il a à peine 23 ans. Il enchaîne les tournages, au point de pouvoir s'en remémorer plus de 80, et, à partir de 1968, à 38 ans, il complète ses activités par de la réalisation.

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  • Il est difficile de savoir si on doit compter cet artiste comme un chanteur, qui s'est adonné, aussi, au cinéma, ou l'inverse. D'un point de vue chronologique, on constate un légér avantages aux longs métrages, puisque le premier est tourné en 1944, alors qu'il a 23 ans (en effet, il naquit le 13 octobre 1921 en Italie). Du point de vue numérique, l'avantage va clairement au monde de la chanson, puisqu'il est passé 81 fois devant la caméra, alors qu'il a retrouvé le micro plus de 150 fois. Surtout, il s'est extirpé du mauvais destin auquel il était voué grâce à cela. En effet, la famille du petit Ivo Livi quitte le pays natal au début des années 1920, alors que, sous la férule de Mussolini, la nation basculait dans le faschisme. Alors, le clan s'installe à Marseille, et, malgré l'ingéniosité du père, qui créé une fabrique de balais, il faut bien vivre. C'est ainsi que les 2 grands enfants - le frère et la soeur - doivent trouver un petit boulot. Pour l'instant, le petit dernier, sur lequel on se focalise, ne doit pas aller au charbon, mais cela arrivera vite, puisqu'il devra aller pointer à l'usine. Mais, lui, est passionné par les comédies musicales, et c'est sûrement par désobéissance qu'il se trouve un emploi de chauffeur de salle dans un cabaret phocéen, où il finit par se produire. Ainsi, sa carrière semble lancée en 1938. Et, c'est, peut-être, la guerre qui le pousse à s'élever, tout d'abord parce qu'il est obligé de monter à Paris. Là, il rencontre Edith Piaf, et c'est le coup de foudre. Celle-ci lui permettra de concrétiser une de ses ambitions : passer sur le grand écran. Malgré cela, et ses 2 montées sur les planches, il apparaît, compte tenu le récit de son éclosion que la musique est son premier amour, même si le but était peut-être plus l'action. Malheureusement, il emporte, en nous quittant, son mystère le 9 novembre 1991.

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  • Il est toujours intééressant d'apprende que celui que ll'on adul(ait) sous tel nom nous a, en fait, trompé, avec un pseudonyme ; en l'occurrence, Jacky Boufroura a, peut-être, voulu cacher l'origine kabyle de son nom, par celui de son beau-père. Il faut que ce dernier et le futur acteur vivent ensemble depuis qu'il a 9 mois, et les liens affectifs entre les 2 hommes ont dû être forts. Ainsi, quand sa mère s'installe avec son nouveau compagnon toujours en 1951 puisque son premier fils (il n'est pas question de frères et soeurs) le 6 février de la même année, à Loches, dans l'Indre-et-Loire. Cela nous donne la triste occasion  de dire que ce natif de Touraine est mort le 28 janvier 2005. A une dizaine de jours près, il aurait pu connaître, donc, la 54ème année de son heureuse vie, et prouver, très tôt, à celui qui a fait preuve de bienveillance à son égard, dès sa plus tendre enfance, qu'il avait lait le bon choix. Toutefois, il aura fallu attendre 19 ans (-9 mois, selon le point de vue), en 1970, pour accéder sur les planches du Conservatoire de Tours, puis à celui de Paris. A côté de ce début de carrière théâtrale, le petit écran emboîte le pas, dès 1972. L'année suivante, c'est le cinéma qui s'intéresse à ses talents d'acteur, à partir de ses 22 ans. Cela constituera le gros de ses activités, puisque, sur le grand écran, il est apparu près de 77 fois, avec l'acquisition de la notoriété nationale dèes ses 30 ans - en 1981. Cette heureuse fortune s'est bien accordé avec le fait qu'il a réitéré, avec le fils de sa femme, les bonnes choses qu'il a vécu dans son enfance.

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  • Certes, a vec cet acteur, on est loin des pointures du cinéma, dont on ne peut plus compter les oeuvres, tant il y en a. Malgré tout, sa courte carrière, qui ne compte que 12 participations à diverses production (télévision et cinéma), a été récompensée par un Golden Globe. Du coup, il est quand même intéressant, pour étendre sa culture cinématrographique, de savoir que cet artiste australien est né le 8 octobre 1939, à Lightning Ridge, non loin de Sydney. Il a commmencé plutôt tard son entrée dans le show business, puisqu'il a fait sa première apparition  sur le petit écran quand il 34 ans. On ne risque pas grand chose, donc, que jouer la comédie n'est pas sa vocation première ; par contre, cela faisait sûrement partie de sa destinée, et il y a lieu de croire que, plus jeune, il a manqué le chemin de la gloire. Bref, la fin justifie les moyens, et il sera d'un plus grand intérêt - pour sûr - de dire que, lors de ses tournages, il n'a aucun complexe à être côtoyé par son épouse, ce qui donne l'occasion de dire qu'il est ridicule de ne pas vouloir montrer ses proches, quand on fait partie du star system. Toutefois, il est certain qu'il faut se méfier de l'exposition publique, et il est vrai qu'il est malsain de dévoiler sa vie privée, si les gens concernés sont présentés comme appartenant à ce cercle restreint. A part cela, il doit être - logiquement - plus facile de rejouer des scènes qui se rapprochent de celles de la vie quotidienne, avec les même protagonistes.

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