• Le nom de cette rappeuse marseillaise, qui est née le 20 décembre 1983, ne dit peut-être rien à la plupart des gens, dans le sens où elle n'officie, sur la scène nationale, que depuis peu. Pourtant, elle fait connaître son talent depuis 1996. Pour en avoir écho, il aurait fallu, à cette date, fréquenter les milieux musicaux de la Belle de Mai. Toutefois, c''est dans un autre quartier de la cité phocéenne - celui de Noailles - qu'elle fait ses premières armes : pour cela, elle prend part (momentanément, puisqu'elle évolue seule depuis 2003) à de nombreux collectifs de hip-hop. Il s'agit, donc, d'une histoire locale, qui a eu - heureusement - un retentissement phénomènal et disproportionné. Cela est un juste retour des chosess, puisque, dans son enfance, Onora Dafor (c'est son vrai nom) n'a eu de cesse de s'échapper des foyers où elle était. Et, face à cette attitude récalcitrante, certains ne l'ont pas ménager, à l'instar de ce directeur, qui, l'hébergeant, lui a cassé le moral, en lui expliquant qu'elle n'avait pas d'avenir ; cela a marqué l'artiste, et on doit se demander si ce dernier était bien dans son rôle, en tuant l'espoir dans l'oeuf. Cependant, elle parvient à profiter de sa sale condition, car il faut se rendre compte que, en fait, les gens qui sont ce genre d'établissement sont comme une famille, pour ces pensionnaires déshérités ; c'est comme cela que la jeune fille en question trouve son premier public. On le voit, avec cette biographie, il faut dire que tous ceux qui ne croient pas à la réussite, quand on est issu des bas-fonds de la société, se trompent, et il n'est pas inutile de rappeler que - actuellement - elle occupe la douzième place du classement des meilleures ventes de disques, en France.

    Décelez-vous, en Keny Arkana, une élite qui ira loin ?


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  • Le véritable nom de cet artiste est Benjamin Chase Harper, ce qui n'a rien d'un pseudonyme. On peut être sûr qu'il est né le 28 octobre 1969 à Claremont en Californie. Pour le reste, il est difficile de savoir ce qu'il a fait pendant son enfance, bien que son parcours musical soit connu. Il aurait été très proche de ses grands-parents, qui possédaient une boutique de revente de guitare. Il y a lieu de croire que sa mère, Ellen, était professeur de musique. Ce contexte fait que le jeune homme s'est intéressé très tôt à l'instrument que l'on a cité. Par ailleurs, on est bien informé sur ses origines : il a du sang amérindien (de la tribu Cherokee) et européen (de Lituanie). Il aurait, aussi, des influences génétiques africaines. Mais, peut-être , pourr enjoliver les choses que l'on a inventé ce dernier détail, qui n'est pas vraiment vérifiable, pour le grand public. Il ne serait pas surprenant, donc, que nombre d'informations, concernant ce chanteur, soient fausses, au-celà de ce que l'on a essayé de rapporter, car il passe pour être un original, qui mélange divers genres de sons. D'ailleurs, il faut dire qu'utiliser le (ou la) Weissenborn, qui a été créé(e) par un luthier du début du XXème siècle, est peu commun, pour assurer des prestations scéniques. Du coup, il a du être plus facile, pour lui, de laisser un souvenir dans l'esprit des premiers membres de son public. Jusqu'à ce jour de 1992 (il a 23 ans), où des connaissances françaises lui donneront la possibilité de se faire connaître, grâce à un contrat, puis, l'année d'après, à un festival rennais. Ses producteurs ont eu une bonne intuition, puisque, à ce jour, il est l'auteur de 14 albums.

    Aurait-il été dommage que personne ne fasse éclore Ben Harper ?


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  • Il est assez facile de trouver des choses à dire dans la seule jeunesse de Jennifer Lynn Lopez, qui est née le 24 juillet 1969, dans un quartier du Bronx, à New York. En effet, on apprend que ses 2 parents sont originaires de la même localité de Porto-Rico. Cela est une pure coîncidence, qu est loin d'expliquer la destinée extraordinaire de la chanteuse, puisqu'elle a 2 soeurs, qui, elles, n'ont pas eu la chancede réussir aussi bien.  Cependant, on peut souligner l'avantage certain qu'il y a, pour une grande nation, de posséder lointaine colonie, dont la culture est significativement différente de celle de la métropole. En fait, le bénéfice d'être sous tutelle, pour la population locale, et la minorité d'immigrés (et leur famille), tient au fait que, en plus de l'émulation que génère, chez ces gens que, par racisme aveuglant, on assimile à des étrangers, leur situation excentrée dès le départ, les mêmes moyens que ceux que l'on applique pour la plus grande partie du territoire ont, pour ces confetti, un impact multiplié, en regard du petit nombre étudié : l'observation de la société est, ici, plus facile à faire, en utilisant les mêmes instruments d'étude que pour le gros de la patrie. Bien sûr, ce travail serait moins efficace, si ceux qui en sont chargé négligent de s'appesantir sur ces petits bouts de terre. En l'occurrence, il ne fait pas de doute, pourtant, que cette question ethnique n'a pas beaucoup d'intérêt, quand on sait que l'artiste en question, qui a commencé à se faire connaître dès 1986, c'est-à-dire à 17 ans, et qui s'est porté sur le Toit du Monde grâce à 9 albums, entre autres, est une acharnée du travail, qui a su se prendre en charge très tôt.

    J.Lo a-t-elle encore un large potentiel, pour s'enrichir toujours plus ?


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  • Cet article est, bien entendu, interessant à écrire, dans le sens où il permet d'aborder la célébrité sous un autre angle. En effet, ici, ce ne sont pas ceux que les médias s'arrachent les médias, qui se sont débrouillés pour être dans une position favorable. En effet, il doivent leur succès à leur évêque de référence, qui a en charge le diocèse de Gap, et d'Embrun. On pourrait même attribuer cette réussite, peut-être inattedue, à un grand nom de la chanson française (il s'agit de Didier Barbelivien), qui voulait développer, en France, un concept importé d'Irlande. Mais, pour cela, il fallait qu'il ait sous la main de belles voix d'ecclésiastiques ; et il se peut son recours à un prélat de l'Eglise française n'ait été, en fait, qu'une étape lui permettant d'organiser un casting. Ainsi, trois individus ont été retenu : Jean-Michel Bardet, né le 17 novembre 1964 ; Charles Troesch, né le 1er juin 1982 : et Joseph Dinh Nguyen Nguyen, qui est né le 5 décembre 1984 au Viet-Nâm, et qui est venu en France en 2003 (c'est ce qui s'appelle une intégration réussie). Outre le fait que, en embrassant une carrière vouée à Dieu, ces hommes ne devait pas se douter de ce qui leur arriverait, on peut dire que cette aventure n'est peut-être pas faite pour durer, car les objectis fixés - à savoir la construction d'une église et une action à Madagascar - ont été atteints, et, même, dépassés, puisque une aide financière a pu être octroyé à l'association d'Yves Duteil, en Inde. Rappelons, en outre que la spiritualité religieuse se détache des richesses matérielles, et, si bénéfice il y a (tant mieux), ils doivent être reversés ailleurs.

    Les Prêtes vont-ils pouvoir se renouveler encore longtemps ?


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  • L'enfance de cet artiste a sûrement été malheureuse, dans le sens où il n'a pas connu son géniteur. Celui-ci, d'origine kabyle, a donné un enfant (sûrement le seul de cette association) à un ouvrière bretonnele le 1er décembre 1947, à Paris. Etant abandonnée, celle-ci ne tarde pas à se remarier, et c'est, là, la première chance de l'enfant, puisqu'il est envoyé en Alsace, chez ses nouveaux grands parents - ceux de sa belle-famille. A Wingersheim, il grandit dans la sérénité, malgré de probables difficultés de communication avec sa grand-mère, Heureusement que ses gens, connus un peu trop rapidement peut-être, ne se sont pas révélé être d'odieux torsionnaires. Car, vu ce qu'il est devenu, il ne fait pas de doute qu'il a reçu une solide éducation ; il y a lieu de croire, aussi, qu'il y a reçu de l'amour, puisque, pour ses 5 ans, on lui offre un harmonica, grâce auquel il découvre la musique. Mais, c'est à partir de ses 12 ans que son existence devient plus intéressante, puisque, en 1959, il revient dans la capitale. Après 6 ans de découverte de ce qu'est la vie trépidente d'un grand centre urbain, et après avoir obtenu un BTS de comptabilité pour ses 18 ans, il semble qu'il a créé la mème année, c'est-à-dire en 1965, un groupe, pour mettre en avant, semble-t-il, ses qualité vocales. Cette première expérience est infructueuse, et il lui faudra attendre 1966 pour lancer une carrière qui comprendra 15 albums et 12 Victoires de la Musique, entre autres. Malheureusement, tout s'arrête le 14 mars 2009,, quand il meurt à l'âge de 61 ans.

    Alain Bashung mérite-t-il toujours plus qu'on lui rende hommage ?


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